Mise en scène

Les personnages, Joseph-Albert Strauss, capitaine de police, et Monseigneur Émilien Pesant, évêque, démontrent symboliquement la collusion de l’Église et de l’État et leur pouvoir misogyne.

Conçue pour trois personnages et un lit double – véritable haut lieu des devoirs conjugaux, matrimoniaux, sociaux et sacerdotaux – la pièce de Michel Garneau ébarbe, émousse et enfonce les pointes de l’éternel triangle québécois, celui qui veut que la légitime-mère-femme-et-épouse valse à tour de rôle avec l’Église et avec la Police. Et qu’après neuf heures, bref, entre l’Ordre et le Salut, son p’tit cœur balance. Illustration du proverbe populaire qui dit : grattez sous le chef de police, vous trouverez un évêque… grattez sous l’évêque, vous trouverez la femme du chef de police, Strauss et Pesant est une danse de mort beaucoup plus qu’une valse légère.

Extraits de critique

Actualités

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11 septembre 1974

Strauss et Pesant : le document promotionnel

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11 septembre 1974

Strauss et Pesant en photos

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11 septembre 1974

L’affiche de Strauss et Pesant

Équipe de création

Décors et éclairages

Claude-André Roy

Costumes

Diane Paquet

Effets musicaux

François Séguin

Les hauts et les bas d’la vie d’une diva : Sarah Ménard par eux-mêmes

Théâtre d’Aujourd’hui

6 novembre 1974 au 31 mai 1981

Alllô tôulmônd’

Théâtre d’Aujourd’hui

20 mars au 12 avril 1975

Beau, bon, pas cher ou la transe du bon boulé

Théâtre d’Aujourd’hui

30 avril au 8 juin 1975

Crédit : CTD'A et Gauthier Designers

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