« [Geneviève Boivin-Roussy] est extraordinaire dans le rôle principal. Autour d’elle, Josée Deschene et Éléonore Loiselle sont extrêmement touchantes, Vincent Graton, Reda Guerinik, Tatiana Zinga Botao, Maxime Robin sont très solides. Et que dire Élisabeth Chouvalidzé, qui est une octogénaire et qui est un trésor national à voir comme ça sur les planches. La mise en scène de Sylvain Bélanger laisse toute la place aux acteurs et à ce texte immense de Rébecca Déraspe, dans sa poésie, dans son humour, dans son humanité. »
Critiques
20 avril 2022
Ceux qui se sont évaporés
« Encore plus soufflé que lorsque je l’avais vue il y a deux ans, je suis sorti de cette représentation complètement exalté par la magie à laquelle je venais d’assister. Je n’ai pas été capable de parler des interprètes et de ce qu’ils venaient de m’offrir sans pleurer devant tant de beauté. Ceux qui se sont évaporés s’inscrit parmi ces quelques spectacles parfaits que l’on voit dans une vie, ces quelques pièces qui touchent chacun des points d’acupuncture et qui ne nous quittent plus. »
Critiques
18 avril 2022
Ceux qui se sont évaporés
Images
13 avril 2022
Geneviève Boivin-Roussy sur l’affiche de Ceux qui se sont évaporés
Ceux qui se sont évaporés
« La distribution est de haut vol ! Et toutes les prestations sont bien accordées et exécutées, particulièrement Geneviève Boivin-Roussy en Emma, une comédienne dont le jeu est d’une extrême finesse. Josée Deschênes et Vincent Graton, qui jouent ses parents, sont bouleversants. Éléonore Loiselle (qu’on n’avait jamais vue sur les planches) est la grande surprise de Ceux qui se sont évaporés. […] Sa seule présence mérite le détour au CTD’A pour voir cette riche production qui lève délicatement le voile sur un grand mystère de l’âme humaine. »
Critiques
10 mars 2020
Ceux qui se sont évaporés
« L’impériale Johanne Haberlin nous fait croire à la détresse de Bébé, un personnage qui ne suscite pas spontanément l’empathie. Sans se réinventer, Steve Laplante incarne toute la maladresse de Paul, sa tendresse, mais aussi sa rage. Josée Deschênes est parfaite en mère obsessive, à la fois caricaturale et émouvante. Avec son sourire, sa désinvolture et son accent, chantant et surtout constant, Alexia Bürger illumine la scène. Dans le rôle de l’agent cynique, Christian Bégin est fort juste. »
Critiques
27 avril 2010
Enquête sur le pire
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