Les faux brillants
d’après Félix-Gabriel Marchand
Une création du Théâtre d’Aujourd’hui en collaboration avec Le Culottier
Théâtre d’Aujourd’hui
24 mars au 27 décembre 1977
Paraphrase et mise en scène
Hilarante réécriture de la pièce de Félix-Gabriel Marchand. Le chef d’une famille de nouveaux riches bien de chez nous doit compléter son ameublement. Il doit choisir entre la culture « qui ne remonte pas du terroir » ou « celle qui descend en ligne droite du dernier bateau en provenance des vieux pays ». Par-delà la fascination qu’exerce une fausse aristocratie européenne sur la petite bourgeoisie québécoise du XIXe siècle, c’est tout le genre théâtral de la comédie de mœurs aux allures vaudevillesques qui est parodié.
Interprétation
Interprétation (à la reprise)
Extraits de critiques
À LA REPRISE EN NOVEMBRE 1977
« C’est joué avec brio par une excellente équipe de comédiens. […] Les faux brillants est un spectacle qu’il faut voir. »
Pascale Perrault, Le Journal de Montréal
À LA CRÉATION EN MARS 1977
« Rarement a‑t-on vu un apocryphe repris de manière plus heureuse. »
Adrien Gruslin, Le Devoir
« Dans un décor absolument fantastique de Claude-André Roy […] des costumes extraordinaires d’Yvon Duhaime […] Germain a orchestré un spectacle interprété avec brio exceptionnel par une distribution de première force. […] Le spectacle le plus drôle et le plus désopilant de la saison. »
Martial Dassylva, La Presse
« Le divertissement le plus agréable qu’on puisse imaginer. »
Lawrence Sabbath, The Star
« Un excellent spectacle. »
Pascale Perrault, Le Journal de Montréal
« C’est ce que j’ai vu de plus fort depuis le début de la saison théâtrale ! »
Raymond Bernatchez, Montréal-Matin
Extrait du document promotionnel
UNE PARAPHRASE DE JEAN-CLAUDE GERMAIN
Les faux brillants de Félix-Gabriel Marchand est une comédie de mœurs québécoises originellement écrite vers la fin du XIXe siècle (plus précisément 1895) par un auteur, Félix-Gabriel Marchand, natif de Saint-Jean et rédacteur au journal Le Franco-Canadien, qui eut le rare privilège (surtout par un vaudevilliste avoué) de devenir le premier ministre du Québec lors de élection de 1897.
Tracée d’une plume qui fait des embardées du côté des farces de Molière plutôt que du côté des vaudevilles contemporains de Feydeau, Les faux brillants met en scène la maisonnée d’un bon bourgeois parvenu bien de chez nous aux prises avec le sempiternel problème des nouveaux riches québécois : celui de compléter son ameublement par une culture d’autant plus respectable et authentique qu’elle ne remonte pas du terroir mais descend en droite ligne du dernier bateau en provenance des vieux pays.
Ni adaptation stricte, ni reconstitution nostalgique, mais translation véritable du maintenant dans le naguère, la paraphrase telle que conçue par Jean-Claude Germain se veut un genre de vision à double foyers dont le but recherché n’est pas de ramener le passé dans le présent mais de mettre le présent dans le passé, là où il était d’ailleurs déjà virtuellement présent comme avenir.
« Germain a orchestré un spectacle interprété avec brio exceptionnel par une distribution de première force. […] Le spectacle le plus drôle et le plus désopilant de la saison. »
Critiques
8 octobre 2016
Puis-je vous rappler, baron, que l’ivrognerie… est un signe de noblesse !
Extraits
Images
23 mars 1977
Les faux brillants en couleurs !
Images
23 mars 1977
Les faux brillants en photos
Équipe de création
Scénographie et éclairages
costumes
Musique
Arrangements musicaux
Ma Corriveau
Victor-Lévy Beaulieu
Théâtre d’Aujourd’hui
16 septembre au 31 octobre 1976
Chpeux pas rester, on m’attend
Yves Sauvageau
Théâtre d’Aujourd’hui
20 janvier au 12 février 1977
Abonnement
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