
Livres
11 octobre 2019
Les Hardings
Alexia Bürger
Atelier 10

Vidéos
6 juin 2019
50 ans d’Histoire du CTD’A — Décennie 2008 – 2018




Images
28 mai 2018
Les photos du dévoilement de saison 18/19 !

« S’il est une fonction clé du théâtre, une action que seuls les meilleurs spectacles, ceux qui sont pour ainsi dire touchés par la grâce, parviennent à accomplir, c’est bien la médiation. Quand la scène sert d’entremise entre les idées et les parties, les termes et les êtres, quand elle agit comme intermédiaire, comme point d’orgue, moins pour arriver à un accord que pour générer des interactions inédites, donner à voir une réalité sous des angles différents, on sait alors qu’on a affaire au travail d’une artiste authentique, une créatrice dont l’intelligence n’a d’égal que la sensibilité. »
Critiques
18 avril 2018
Les Hardings
« Les Hardings, clôt de façon magistrale la saison dans la grande salle du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui. Très bien écrit et construit, le texte commence à rouler lentement, comme une locomotive, puis, de plus en plus vite. Il entremêle les dialogues et les trialogues, entre le léger et le grave, la réalité des personnages et celle, en prise directe, des acteurs. »
Critiques
16 avril 2018
Les Hardings
Médias
16 avril 2018
Entre réalité et fiction, des Méganticois assistent à la pièce Les Hardings inspirée de la tragédie ferroviaire
Radio-Canada
Les Hardings




Vidéos
23 mars 2018
#Chansondetrainduvendredi : Morning Train par les comédiens !
De l’église
Jusqu’à l’épicerie
De la rivière
jusqu’aux rails
Le feu avale la ville
Extraits
Les Hardings
Je vous souhaitais la beauté qui fait mal
Je vous souhaitais le plaisir qui fend les jointures
L’inimitable orgasme, le coït ininterrompu, la douceur impossible
Je vous souhaitais résistants à l’ordinaire,
Impénétrables à la morosité,
Joyeux,
Fulgurants
Et brutalement honnêtes
Extraits
Alfred

« L’impériale Johanne Haberlin nous fait croire à la détresse de Bébé, un personnage qui ne suscite pas spontanément l’empathie. Sans se réinventer, Steve Laplante incarne toute la maladresse de Paul, sa tendresse, mais aussi sa rage. Josée Deschênes est parfaite en mère obsessive, à la fois caricaturale et émouvante. Avec son sourire, sa désinvolture et son accent, chantant et surtout constant, Alexia Bürger illumine la scène. Dans le rôle de l’agent cynique, Christian Bégin est fort juste. »
Critiques
27 avril 2010
Enquête sur le pire


Abonnez-vous !
Choisissez au moins trois spectacles parmi les douze qui composent notre saison 2025 – 2026 et bénéficiez d’un rabais progressif sur le prix de vos billets, en plus de nombreux privilèges exclusifs : changements de dates sans frais, concours mensuels, réductions chez nos partenaires culturels et plus encore !