Actualités

« Éblouissant spectacle lyrique qui transforme l’espace scénique du Théâtre d’Aujourd’hui en un haut lieu de délire verbal, de magie poétique et de fantaisie théâtrale débridée. […] C’est l’évènement de ce printemps. »

Jacques Larue-Langlois, Le Devoir

« Il faut le reconnaitre : comme coup d’envoi, c’est un coup de maitre. […] Le succès remporté lors de sa création, il y a un an, par ce premier texte professionnel d’une finissante en écriture de l’École nationale de théâtre, est pleinement justifiée. Il tient à la fois à la qualité du texte, à cet écrin visuel surréaliste que constitue le décor, à une mise en scène impeccablement réglée et à des interprètes précis dont le sens de la mesure sait faire passer le tout. »

Jacques Larue-Langlois, Le Devoir 

Critiques

19 septembre 1979

Bernadette et Juliette

« Il faut le reconnaître : comme coup d’envoi, c’est un coup de maître. […] Le succès remporté lors de sa création, il y a un an, par ce premier texte professionnel d’une finissante en écriture de l’École nationale de théâtre, est pleinement justifié. Il tient à la fois à la qualité du texte, à cet écrin visuel surréaliste que constitue le décor, à une mise en scène impeccablement réglée et à des interprètes précis dont le sens de la mesure sait faire passer le tout. »

Jacques Larue-Langlois, Le Devoir

Critiques

15 septembre 1979

Bernadette et Juliette

« Ce n’est que justice que la pièce d’Élizabeth Bourget revienne à l’affiche au Théâtre d’Aujourd’hui. […] Autrement il eut été dommage que l’une des œuvres les plus intéressantes et les plus neuves de la saison dernière ne connaisse en tout et partout que vingt-neuf représentations. »

Martial Dassylva, La Presse

Critiques

15 septembre 1979

Bernadette et Juliette

« Un spectacle parfaitement réussi. »

Denis Tremblay, Le Journal de Montréal

Critiques

15 septembre 1979

Bernadette et Juliette

« Un texte plein de verve, dru, une justesse de ton et de situations, ainsi que la belle façon dont les personnages sont typés. Et André Brassard s’est embarqué dans cette pièce comme un diable dans l’eau bénite, de sorte que sa mise en scène ne manque ni d’inspiration, ni de trouvailles, et qu’elle porte à merveille le texte de Victor-Lévy Beaulieu. »

Pascale Perrault, Le Journal de Montréal

« Il y a du très bon Jean-Claude Germain là dedans, tels ces dialogues en parallèle mordants et efficaces […] et souvent très drôle. »

Jacques Larue-Langlais, Le Devoir

« Décorée et costumée avec rigueur et beauté, agrémentée d’une très belle musique de Gaston Brisson […] interprétée par une très forte équipe de comédiens, dont se détachent plus particulièrement Normand Chouinard et Guy Nadon. »

Martial Dassylva, La Presse

« Des moments d’une grande intensité, des pensées et propos qui portent. »

Pascale Perrault, Le Journal de Montréal

« La tête de monsieur Ferron est un spectacle inoubliable. […] Complice fidèle, amusé et brillant, Victor-Lévy Beaulieu, avec ce spectacle tiré d’une grande œuvre, rend un hommage admirable au « Docteur admirable ». »

Jean Royer, Le Devoir

« Une mise en scène qui table sur un dispositif scénique bien réussi et sur des costumes parfois somptueux. »

Martial Dassylva, La Presse

« Les comédiens sont vraiment très bons. »

Anne Michaud, Le Pigeon dissident

« Si tout passe si bien la rampe, si jamais on ne s’ennuie pendant les presque deux heures de la production, si les rires fusent régulièrement et si une profonde sympathe s’établit entre la scène et la salle, c’est d’abord à cause de la sensibilité, de la finesse et de l’invention de ces six comédiens qui restituent une vérité enfouie en chacun d’eux et parviennent à se fondre avec elle tout en jouant la comédie. »

Jacques Larue-Langlois, Le Devoir

Critiques

10 février 1979

Si les ils avaient des elles

« Un style de jeu très homogéne et cohérent et un jeu admirablement diversifié, souple, qui privilégie les métamorphoses instantanées, les déplacements rapides et un rythme d’ensemble très vivant. »

Martial Dassylva, La Presse

Critiques

10 février 1979

Si les ils avaient des elles

« C’est une mise en scène vivante, alerte, plein de trouvailles que nous apporte Jean-Claude Germain. »

Pascale Perreault, Le Journal de Montréal

Critiques

11 novembre 1978

Mâmours et conjugat

« On se plait quand même beaucoup à ces nouvelles modulations de Germain sur des thèmes méconnus et qui sont faites dans un style à peu près impeccable, avec une rigueur de mis en scène et une beauté plastique assez rare. »

Martial Dassylva, La Presse

Critiques

11 novembre 1978

Mâmours et conjugat

« Il est bien sûr qu’on rit son saoul et qu’on ne s’ennuit guère. »

Bernard Andrès, Le Devoir

Critiques

11 novembre 1978

Mâmours et conjugat

« Autant le projet de création collectif du Théâtre Passe Muraille dirigé par Paul Thompson était séduisant au départ, autant sa réalisation offerte au Théâtre d’Aujourd’hui remplit toutes les promesses espérées. »

Adrien Gruslin, Le Devoir

Critiques

20 septembre 1978

Les maudits Anglais

« C’est une réussite : un spectacle amusant, inquiétant, pertinent. »

Anne-Marie Demers, Ottawa Revue

Critiques

20 septembre 1978

Les maudits Anglais

« Dans une mise en scène efficace et qui ne manque pas d’ingéniosité, les comédiens y vont allègrement et apportent toute la couleur nécessaire à leurs personnages. Ils sont tous excellents. »

Pascale Perrault, Le Journal de Montréal

Critiques

20 septembre 1978

Les maudits Anglais

« Une soirée pleine de charme. »

André Roche, Télé spectacles

Critiques

15 avril 1978

L’école des rêves

« La mise en scène de l’auteur est vivante et adroite, bien entourée de la musique interprétée par Christian Gauthier. La présentation donne lieu à des jeux acteurs excellents. »

Adrien Gruslin, Le Devoir

Critiques

15 avril 1978

L’école des rêves

« Jean-Claude Germain never ceases to fascinate as he amazes and amuses and in his latest creation at the Theatre d’Aujourd’hui — L’école des rêves — he keeps one chuckling and admiring throughout. »

Lawrence Sabbath, Montreal Star

Critiques

15 avril 1978

L’école des rêves

« Guy L’Écuyer et Jean Perraud sont magnifiques. Ils campent avec brio leur personnage. Johanne Garneau se défend aussi très bien et elle possède une fort jolie voix. »

Pascale Perrault, Le Journal de Montréal

Critiques

15 avril 1978

L’école des rêves

Crédit : LM Chabot

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