SimonGuilbault
Récemment à l’opéra, il collabore avec le metteur en scène Oriol Tomas et signe les scénographies de La Traviata (2019) au Icelandic Opera et de Twenty-Seven (2019) à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. Au théâtre, on a pu voir ses scénographies pour Zoé (2020) d’Olivier Choinière au Théatre Denise-Pelletier, Le ravissement (2019) d’Étienne Lepage au Théâtre de Quat’Sous dans une mise de Claude Poissant, Les Hardings (2018) d’Alexia Burger au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui, L’avare (2017) au Théatre Denise-Pelletier dans une mise en scène de Claude Poissant et la nouvelle production de PeepShow (2015) de Marie Brassard à Espace Go. Avec Marie Brassard il collabore également à la création de Jimmy, créature de rêve (2001), La noirceur (2003), PeepShow (2005), L’invisible (2008) et Trieste (2013). Ces pièces ont été applaudies tant au Québec que sur la scène internationale. Jimmy, créature de rêve a entre autres été vue sur les scènes du Théâtre de l’Odéon à Paris, du Sophiensaele à Berlin et du Barbican Centre de Londres. Il a également collaboré avec Claude Poissant pour On ne badine pas avec l’amour (2015), Unity 1918 (2003) et Louisiane nord (2004), avec Marc Beaupré pour Instructions pour un éventuel gouvernement socialiste qui souhaiterait abolir la fête de Noël (2013), avec Brigitte Haentjens pour le spectacle de Chloé Sainte-Marie (2010), avec Daniel Fortin pour le spectacle de Claudine Mercier (2011), avec Jérémie Niel pour Noir (2019) et Cendres (2010), avec Geoffrey Gaquère pour Le cellulaire d’un homme mort (2014) et Dominic Champagne pour La caverne (2001). Pour le Cirque du Soleil, il signe les décors de Rebel (2019), Joyeux Calvaire – Homage aux Cowboys Fringuants (2019), Juste une p’tite nuite – Hommage aux Colocs (2018), Bazzar (2018) et Stone — Hommage à Luc Plamondon (2017). En danse il collabore avec Line Nault pour Super-Super (2018) et Dana Gingras pour Somewhere Between Maybe (2015). Au cinéma, il signe la direction artistique pour Le bruit des arbres de Francois Péloquin (2014) et pour Lost Song de Rodrigue Jean (2007).
« À partir de cette matière sensible, souvent poignante, mais aussi par endroits désopilante, mailles d’existence rattachées, bribes de vies agitées par les flots, la metteuse en scène orchestre un spectacle limpide, un ballet maritime implacable et somptueux. ».
Critiques
13 avril 2023
Les filles du Saint-Laurent
Spectacles
Les filles du Saint-Laurent
Rébecca Déraspe en collaboration avec Annick Lefebvre
4 avril au 3 mai 2023
Okinum
Émilie Monnet
Salle Jean-Claude-Germain
2 au 20 octobre 2018
Les Hardings
Alexia Bürger
Salle principale
10 avril 2018 au 22 mai 2022
Alfred
d’Alexia Bürger et Emmanuel Schwartz
Salle Jean-Claude-Germain
15 avril au 4 mai 2014
Instructions pour un éventuel gouvernement socialiste qui souhaiterait abolir la fête de Noël
de Michael Mackenzie
Salle principale
8 octobre 2013 au 12 décembre 2015
La caverne
de Dominic Champagne
Salle principale
17 avril au 12 mai 2001
Abonnement
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