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« Un autre coup de maître du dramaturge. Il réussit encore une fois à surprendre le public grâce à sa façon de traiter des enjeux les plus sombres avec une humanité désarmante. La musique de Valaire planant dans la salle au rythme des mots de Soleymanlou est un des éléments gagnants de la formule. »

« Les figures de style, les savoureux jeux de mots, les descriptions parfois surréalistes et les judicieux silences sont légion dans cette fausse ou vraie autofiction dont se réclame l’auteur. »

« La façon dont [Mani Soleymanlou et Valaire] jonglent avec les mots, avec les idées, avec les rires, ça fonctionne très bien. »

« La mise en scène de Marc Beaupré exprime habilement le vertigineux dépaysement du héros. »

« La mise en scène épurée de Marc Beaupré lui rend justice en donnant de l’espace au texte, en permettant aux émotions fragiles de se développer patiemment dans l’exploration d’un lien filial difficile à cerner. »

« Un texte touchant, drôle, captivant mis en scène avec sensibilité et intelligence. »

« La mise en scène de Marc Beaupré est très ingénieuse. »

« L’auteur et le metteur en scène ont réussi à plonger le public dans la position du Fils lorsqu’il découvre cet univers inconnu qu’est la Côte d’Ivoire ainsi que cette nouvelle famille. Le choc culturel est vécu à travers différents sens, par la conception sonore et vidéo qui complément bien le récit. »

« Chapeau à Anne-Marie Olivier pour l’audace, la pertinence et la grande générosité. »

« Une expérience envoûtante qui ouvre sur la beauté et le calme malgré les émotions du vivre ensemble et des départs. »

« Devant cette scène chaleureuse, tapissée de texture, un peu comme une visite à l’intérieur d’un souvenir qui ne nous appartient pas, mais qu’on s’approprie étrangement. »

« Un spectacle très joli, très doux, comme un petit cocon automnal. »

« La démagogie des dragons est une pièce que l’on ressent. »

« Ces acteurs-là, ils chantent : de la puissance, des voix justes, des harmonies. C’est beau. […] Je vous la recommande chaudement ! »

« Dans cette pièce où on ne sait jamais où les méandres de la conversation vont nous mener, les tableaux s’enfilent, les répliques claquent, les rires fusent. On est dans la vie qui vibre, quoi ! »

« Repoussant les définitions classiques structurées par les religions, les convenances et la politique, les quatre personnages tissent sur scène une complicité tangible pour créer une amitié adelphique des plus crédibles. Soulignons que de voir ce quatuor sur scène, en chair et en os, plutôt qu’à l’écran, nous fait comprendre une fois de plus la magie des arts vivants. »

« S’enjailler résonne comme un écho aux voix authentiques de cette génération, dans toute sa diversité et sa complexité. »

« Le premier texte de la comédienne Stephie Mazunya est tout aussi pertinent que divertissant, percutant que ludique. »

« Le titre du spectacle, S’enjailler, ne pouvait mieux définir le ressenti de ceux qui dans la salle assistaient à la prestation époustouflante des comédiennes. »

« Oeuvre simple et complexe, Chevtchenko est une pièce coup-de-poing qui exprime toute la douleur des hommes devant l’inexorable déroulement de la vie. »

« Une puissante autofiction. »

« Des histoires qui se déploient avec un souffle dramatique puissant, magnifiées par une scénographie et une mise en scène inventives. »

« J’en aurais pris encore. C’est un petit délice. […] C’est simplement un texte qui est formidable, tenu par des comédiens formidables, dans une mise en scène où l’on ne s’ennuie jamais. […] On ne peut pas faire tellement mieux. »