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« La performance des deux interprètes est magnifique : intense, vulnérable, crédible de bout en bout. C’est un duo qui fonctionne avec une grande écoute, un vrai instinct scénique. »

« Magnifiquement écrit, il y a clairement quelque chose qui me plaît [dans la plume de Stéphanie Labbé]. […] Déplacez-vous et allez voir ça ! »

« Après t’avoir bordé tendrement, je meurs est une excellente pièce, accessible et de grande qualité. […] J’ai pleuré, j’ai ri, tout ce que j’aime au théâtre. »

« [Denis Marleau] confère au récit l’allure d’une bande dessinée : un vivant road-movie où les images de Stéphanie Jasmin donnent adroitement vie aux paysages des cartes. »

« Incarnant la mère, Louise Cardinal est magistrale à l’urgence avec son ado de 16 ans qui vient de faire une grosse connerie. Félix-Antoine Bénard est tellement crédible que j’ai cru entendre mon fils, il n’y a pas si longtemps. Un duo d’acteurs fort. »

« Nul besoin de faire de l’esbroufe ou d’user d’artifices pour admirablement interpeller son public : un bon texte, une interprétation béton, les phrases de Kemeid, un voyage dans le temps, et le tour est joué. »

« Il faut souligner le travail remarquable de Stéphanie Jasmin […] Toute la réalisation filmique dynamise formidablement le récit du voyage de Gil. »

« Le vieux monde derrière nous est un regard fascinant sur une époque à la fois récente et disparue. »

« Marleau relève une fois de plus le défi de surprendre grâce à une mise en scène audacieuse, intelligente et sans affectation. Un vrai plaisir à découvrir. »

« Un impressionnant solo. […] C’est le récit du voyage initiatique d’un jeune aventurier, mais c’est aussi une déclaration d’amour par fragments, déclarations parfois maladroites, souvent drôles et toujours attendrissantes. »

« Le jeu de Soleymanlou, toujours aussi remarquable et saisissant de réalisme, est un pilier dans le déploiement de cette œuvre théâtrale. »

« Un récit prenant, sensible mais exempt de sensiblerie, habilement livré par les cinq interprètes, sans compter les éclairages, la scénographie et l’environnement sonore qui en maximisent la portée. »

« C’est une œuvre qui touche, qui fait réfléchir, et qui réussit à rendre visible ce qui se vit souvent en silence. »

« C’est vraiment une histoire qui aurait pas pu être pensée en fiction. C’est de l’autofiction, il y a une raison pour ça, parce que sinon, on y aurait pas cru. »

« J’ai beaucoup aimé cette pièce. Pour son audace. Pour ses émotions vives. Pour son humanité. Et pour le jeu impeccable des comédiens, qui nous rappellent que le théâtre peut être un lieu de vérité et qu’il peut certainement accompagner sur le chemin de la guérison. »

« Rien de dérangeant, rien de forcé, juste une sincérité désarmante. Pour beaucoup, ces thèmes peuvent remuer des choses, mais personnellement, je me suis sentie apaisée. C’est traité avec humour, délicatesse et respect. »

« Courez-voir ça au plus vite. »

« Ça fait infiniment de bien d’assister à un spectacle qui dénonce [les discours réactionnaires] de façon aussi articulée. »

« Menée par l’excellent Gabriel Lemire en Mommy et Sarah Laurendeau en DJésus, la distribution marie avec virtuosité lip sync et discours rimés. »

« Un incontournable pour les désireux de réflexion et, surtout, de surprise. »

« La distribution est d’une solidité exceptionnelle et porte avec brio cette pièce dérangeante mais nécessaire d’Olivier Choinière. »

« La mise en scène d’Olivier Choinière est originale, efficace et ingénieuse. […] Une expérience très forte, franchement réussie. »

« Mommy… est un gros pied de nez à l’autoritarisme et à l’extrémisme, au retour du religieux, voire du messie en personne. »

« Drôle, bien exécuté, hyper inventif. Le travail de création de chanson d’Eman est formidable. »