Actualités
« Dans un décor absolument fantastique de Claude-André Roy […] des costumes extraordinaires d’Yvon Duhaime […] Germain a orchestré un spectacle interprété avec brio exceptionnel par une distribution de première force. […] Le spectacle le plus drôle et le plus désopilant de la saison. »
Critiques
25 mars 1977
Les faux brillants
« The Theatre d’Aujourd’hui production of Sauvageau’s Chpeux pas rester on m’attend, is highlighted by a sensational first act, with spectacular performances by three actresses — Evelyne Regimbald, Christine Prud’homme and Carmen Tremblay. »
Critiques
20 janvier 1977
Chpeux pas rester, on m’attend
« Cet appel à la souvenance est interprété avec une très belle adresse par Guy L’Écuyer et Jean Perraud dans une mise en scène imaginative de Jean-Claude Germain et dans un décor et des éclairages tout à fait exceptionnels de Claude-André Roy. »
Critiques
11 novembre 1976
Un pays dont la devise est : je m’oublie
« Original, le spectacle du Théâtre d’Aujourd’hui passe tout à fait bien. Le metteur en scène André Pagé, on se rappelle sa merveilleuse et simple orchestration du Temps d’une vie, l’année dernière, sait doser les effets et régler l’ensemble. »
Critiques
22 septembre 1976
Ma Corriveau
« La mise en scène est remarquable et les comédiens jouent, dans l’ensemble, avec beaucoup de réalisme. »
Critiques
22 septembre 1976
Ma Corriveau
« Among the large cast I was taken with the full-fleshed performance by Evelyne Regimbald as the Coriveau girl in an older stage and by Françoise Berd in the role of the judge. »
Critiques
20 septembre 1976
Ma Corriveau
« Les interprétations sonnent tellement justes que je serais bien en peine de consacrer le meilleur acteur de la soirée. »
Critiques
20 septembre 1976
Ma Corriveau
« L’un des plus remarquables morceaux d’écriture de tout le répertoire du théâtre québécois. […] tant pour la consistance que pour la persistance de l’hilarité. »
Critiques
13 mars 1976
Un pays dont la devise est : je m’oublie
« Certains extraits méritent soit de figurer dans l’anthologie du théâtre québécois (le monologue du curé sur l’impureté et les finances paroissiales); soit d’être imprimé sur des tiré-à-part et distribué gratuitement dans les galeries de l’Assemblée nationale réservées au public. »
Critiques
13 mars 1976
Un pays dont la devise est : je m’oublie
« Pour le charme sensible de Guy L’Écuyer, pour la versatilité humouristique de Marc Legault, la soirée au Théâtre d’Aujourd’hui se fait toute agréable et, ma foi, fort drôle par moments. »
Critiques
12 mars 1976
Un pays dont la devise est : je m’oublie
« La pièce fourmille d’éléments intéressants, jouit d’une mise en scène très adéquate de l’auteur et d’une interprétation qui fait plaisir à voir. »
Critiques
10 mars 1976
Un pays dont la devise est : je m’oublie
« Un rendez-vous à ne pas manquer. […] C’est drôle, et touchant à la fois, c’est jeune, c’est frais, c’est bourré de talent. »
Critiques
10 février 1976
Le club Frank « Eros » Robidoux
« C’est à voir absolument car ils [les comédiens] sont remarquables et le sujet qui tourne autour de ce « club de rencontre » est drôle à mourir. »
Critiques
7 février 1976
Le club Frank « Eros » Robidoux
« Une patente scénique époustouflante. »
Critiques
4 février 1976
Le club Frank « Eros » Robidoux
« Fantastique, formidable, épatant, ça vaut la peine d’aller au Théâtre d’Aujourd’hui. »
Critiques
3 février 1976
Le club Frank « Eros » Robidoux
« Depuis jeudi au Théâtre d’Aujourd’hui, on a l’impression d’être devant un grand livre d’histoires qui se déplie avec d’infinies précautions. Le récit touche grâce à son intensité. Pourtant, il ne comporte ni gestes d’éclats, ni grands sparages théâtraux ; rien d’autre que la profondeur d’une vie banale. La magie du verbe, l’excellence du jeu des comédiens nous font suivre avec intérêt l’évolution de Rosanna Guillemette, de sa naissance à sa mort. »
Critiques
20 septembre 1975
Le temps d’une vie
« Soirée de théâtre remarquable […] à cause du texte de Lepage, et de l’habile mise en scène d’André Pagé, mais également à cause du décor très sobre de Chantal Pépin et surtout de la distribution dont le calibre est de premier ordre. Pierre Lebeau, Roger Blay, Guy Nadon et Gilbert Lepage sont tous chacun à leur façon, à la hauteur des situations et des rôles qui leur sont échus. Cependant, ils ne sauraient faire oublier la performance splendide de Muriel Dutil qui, dans les différentes étapes de sa vie de Rosanna Guillemette joue avec une justesse, un naturel et une conviction fantastique. »
Critiques
20 septembre 1975
Le temps d’une vie
« Une mise en scène originale et un jeu fantastique de la part des acteurs (en particulier l’interprétation du rôle de Rosanna par Muriel Dutil) font que l’on ne se retourne pas souvent sur notre banc durant 2 heures. »
Critiques
20 septembre 1975
Le temps d’une vie
« Soirée de théâtre remarquable […] à cause du texte de Lepage, et de l’habile mise en scène d’André Pagé, mais également à cause du décor très sobre de Chantal Pépin et surtout de la distribution dont le calibre est de premier ordre. Pierre Lebeau, Roger Blay, Guy Nadon et Gilbert Lepage sont tous chacun à leur façon, à la hauteur des situations et des rôles qui leur sont échus. Cependant, ils ne sauraient faire oublier la performance splendide de Muriel Dutil qui, dans les différentes étapes de sa vie de Rosanna Guillemette joue avec une justesse, un naturel et une conviction fantastique. »
Critiques
19 septembre 1975
Le temps d’une vie
« Les comédiens se sont surpassés. Ils sont tous très forts. De les faire évoluer ensemble dans un espace aussi restreint, avec autant d’aisance, c’est un exploit. La langue de Jean-Claude Germain est belle comme un rêve et il ne gâche pas l’encre de son stylo. »
Critiques
1er juin 1975
Beau, bon, pas cher ou la transe du bon boulé
« De nombreux spectateurs sortiront du Théâtre d’Aujourd’hui bouleversés, sinon entièrement conquis. »
Critiques
25 mars 1975
Alllô tôulmônd’
« The one-act, hour-and-a-half piece emerges as a minor masterpiece under the masterly direction of André Pagé and the stunning performances by Roland Lepage, Guy Nadon and Denise Morelle. Adding to the spectacular quality of the production are the excellent lighting by Claude-André Roy who has also designed the set which consists of a magnificient large, hand-carved bed. »
Critiques
17 septembre 1974
Strauss et Pesant
« Strauss et Pesant est sûrement la meilleure pièce écrite par Garneau. »
Critiques
16 septembre 1974
Strauss et Pesant
« On a la certitude de venir de saisir, pendant deux heures, des choses essentielles. »
Critiques
23 mars 1974
Alllô tôulmônd’
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