Actualités

« Déjà ce seul rassemblement accorde au spectacle de Roland Lepage la puissance inexplicable de ces œuvres qui ont su emprisonner le temps dans leurs mailles, et s’en servent comme d’un miroir où pour jamais, s’est incrustée notre image. »

P. de Rosbo, Le quotidien de Paris

Critiques

10 juillet 1977

Le temps d’une vie

« Nous ne pouvons pas échapper à l’attraction de Rosanna, la femme-servante, à l’attraction d’une actrice étonnante, Murielle Dutil. Tout le spectacle repose sur elle, sur l’intelligence de son regard, l’humour de son sourire, la douceur de ses gestes, les crispartions de son corps. […] Elle possède la classe et le pouvoir des grandes stars, ces monstres capables de créer leur vérité, la vérité, dans n’importe quelle situation et on y croit. »

Colette Godard, Le Monde

Critiques

10 juillet 1977

Le temps d’une vie

« Rarement a‑t‑on vu un apocryphe repris de manière plus heureuse. »

Adrien Gruslin, Le Devoir

Critiques

30 mars 1977

Les faux brillants

« Le divertissement le plus agréable qu’on puisse imaginer. »

Lawrence Sabbath, The Star

Critiques

26 mars 1977

Les faux brillants

« C’est ce que j’ai vu de plus fort depuis le début de la saison théâtrale ! »

Raymond Bernatchez, Montréal-Matin

Critiques

26 mars 1977

Les faux brillants

« Dans un décor absolument fantastique de Claude-André Roy […] des costumes extraordinaires d’Yvon Duhaime […] Germain a orchestré un spectacle interprété avec brio exceptionnel par une distribution de première force. […] Le spectacle le plus drôle et le plus désopilant de la saison. »

Martial Dassylva, La Presse

Critiques

25 mars 1977

Les faux brillants

« The Theatre d’Aujourd’hui production of Sauvageau’s Chpeux pas rester on m’attend, is highlighted by a sensational first act, with spectacular performances by three actresses — Evelyne Regimbald, Christine Prud’homme and Carmen Tremblay. »

Lawrence Sabbath, The Montreal Star

Critiques

20 janvier 1977

Chpeux pas rester, on m’attend

« Cet appel à la souvenance est interprété avec une très belle adresse par Guy L’Écuyer et Jean Perraud dans une mise en scène imaginative de Jean-Claude Germain et dans un décor et des éclairages tout à fait exceptionnels de Claude-André Roy. »

Martial Dassylva, La Presse

« Original, le spectacle du Théâtre d’Aujourd’hui passe tout à fait bien. Le metteur en scène André Pagé, on se rappelle sa merveilleuse et simple orchestration du Temps d’une vie, l’année dernière, sait doser les effets et régler l’ensemble. »


André Gruslin, Le Devoir

Critiques

22 septembre 1976

Ma Corriveau

« La mise en scène est remarquable et les comédiens jouent, dans l’ensemble, avec beaucoup de réalisme. »

Raymond Bernatchez, Montréal-Matin

Critiques

22 septembre 1976

Ma Corriveau

« Among the large cast I was taken with the full-fleshed performance by Evelyne Regimbald as the Coriveau girl in an older stage and by Françoise Berd in the role of the judge. »

Lawrence Sabbath, Montreal Star

Critiques

20 septembre 1976

Ma Corriveau

« Les interprétations sonnent tellement justes que je serais bien en peine de consacrer le meilleur acteur de la soirée. »

Charles Montpetit, Loyola News

Critiques

20 septembre 1976

Ma Corriveau

« L’un des plus remarquables morceaux d’écriture de tout le répertoire du théâtre québécois. […] tant pour la consistance que pour la persistance de l’hilarité. »

Lawrence Sabbath, The Star

« Certains extraits méritent soit de figurer dans l’anthologie du théâtre québécois (le monologue du curé sur l’impureté et les finances paroissiales); soit d’être imprimé sur des tiré-à-part et distribué gratuitement dans les galeries de l’Assemblée nationale réservées au public. »

Jean O’Neil, La Presse

« Pour le charme sensible de Guy L’Écuyer, pour la versatilité humouristique de Marc Legault, la soirée au Théâtre d’Aujourd’hui se fait toute agréable et, ma foi, fort drôle par moments. »

Michelle Talbot, Dimanche Matin

« La pièce fourmille d’éléments intéressants, jouit d’une mise en scène très adéquate de l’auteur et d’une interprétation qui fait plaisir à voir. »

Le Devoir, Adrien Gruslin

« Un rendez-vous à ne pas manquer. […] C’est drôle, et touchant à la fois, c’est jeune, c’est frais, c’est bourré de talent. »

Raymond Bernatchez, Montréal-Matin

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10 février 1976

Le club Frank « Eros » Robidoux

« C’est à voir absolument car ils [les comédiens] sont remarquables et le sujet qui tourne autour de ce « club de rencontre » est drôle à mourir. »

M. Girouard, Journal des Vedettes

Critiques

7 février 1976

Le club Frank « Eros » Robidoux

« Une patente scénique époustouflante. »

Jean-Paul Brousseau, La Presse

Critiques

4 février 1976

Le club Frank « Eros » Robidoux

« Fantastique, formidable, épatant, ça vaut la peine d’aller au Théâtre d’Aujourd’hui. »

Michel Girouard, Bon dimanche

Critiques

3 février 1976

Le club Frank « Eros » Robidoux

« Depuis jeudi au Théâtre d’Aujourd’hui, on a l’impression d’être devant un grand livre d’histoires qui se déplie avec d’infinies précautions. Le récit touche grâce à son intensité. Pourtant, il ne comporte ni gestes d’éclats, ni grands sparages théâtraux ; rien d’autre que la profondeur d’une vie banale. La magie du verbe, l’excellence du jeu des comédiens nous font suivre avec intérêt l’évolution de Rosanna Guillemette, de sa naissance à sa mort. »

Adrien Gruslin, Le Devoir

Critiques

20 septembre 1975

Le temps d’une vie

« Soirée de théâtre remarquable […] à cause du texte de Lepage, et de l’habile mise en scène d’André Pagé, mais également à cause du décor très sobre de Chantal Pépin et surtout de la distribution dont le calibre est de premier ordre. Pierre Lebeau, Roger Blay, Guy Nadon et Gilbert Lepage sont tous chacun à leur façon, à la hauteur des situations et des rôles qui leur sont échus. Cependant, ils ne sauraient faire oublier la performance splendide de Muriel Dutil qui, dans les différentes étapes de sa vie de Rosanna Guillemette joue avec une justesse, un naturel et une conviction fantastique. »

Martial Dassylva, La Presse

Critiques

20 septembre 1975

Le temps d’une vie

« Une mise en scène originale et un jeu fantastique de la part des acteurs (en particulier l’interprétation du rôle de Rosanna par Muriel Dutil) font que l’on ne se retourne pas souvent sur notre banc durant 2 heures. »

Jean Favreau, Le Polyscope

Critiques

20 septembre 1975

Le temps d’une vie

« Soirée de théâtre remarquable […] à cause du texte de Lepage, et de l’habile mise en scène d’André Pagé, mais également à cause du décor très sobre de Chantal Pépin et surtout de la distribution dont le calibre est de premier ordre. Pierre Lebeau, Roger Blay, Guy Nadon et Gilbert Lepage sont tous chacun à leur façon, à la hauteur des situations et des rôles qui leur sont échus. Cependant, ils ne sauraient faire oublier la performance splendide de Muriel Dutil qui, dans les différentes étapes de sa vie de Rosanna Guillemette joue avec une justesse, un naturel et une conviction fantastique. » 

Martial Dassylva, La Presse

Critiques

19 septembre 1975

Le temps d’une vie

Crédit : LM Chabot

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